Chapitre 1044
En fait, « Manuel secret de Pan » a recueilli d‘innombrables remèdes anciens miraculeux, dont des dizaines
traitaient des problèmes d‘estomac, et dont chacun pourrait aider Claude à vaincre complètement le Groupe
Takamoto. Cependant, l‘industrie pharmaceutique étant très lucrative, Clément n‘aiderait pas Claude pour rien. Il a
donc dit à Claude :
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt– Claude, j‘ai quelques bons remèdes, avec lesquels tu peux produire des médicaments efficaces, qui seront des
best–sellers., Combien d‘actions tu me cédera si je t‘investis avec ces remèdes ? Claude a dit presque sans hésiter
– Maître Clément, tout ce que je possède aujourd‘hui, c‘est grâce à vous. Si vous voulez, je peux vous donner le
Groupe Poulin ! Claude savait très bien qu‘il ne pourrait pas hériter du Groupe Poulin sans Clément et qu‘il ne
pourrait pas garder le Groupe Poulin sans Clément si Tristan et son fils revenaient, alors il avait envie de
s‘accrocher à Clément. Clément a hoché la tête et a dit : – Alors, si le remède que je te donner est plus efficace que
le médicament du Groupe Takamoto, tu me donneras 80% des actions du Groupe Poulin. Et dans le futur, je te
fournirai constamment de bons remèdes pour que le Groupe Poulin devienne une entreprise possédant une fortune
de plusieurs dizaines de milliards d‘euros.
Les biens du Groupe Poulin n‘avaient que deux ou trois milliards euros et il avait des dettes. Si Clément pouvait
vraiment faire le Groupe Poulin devenir un grand groupe, même si Claude n‘avait que 10% des actions, il pourrait
réaliser la multiplication de ses biens personnels, donc pour lui, il n‘avait aucune raison de refuser. Et il avait déjà
entendu dire que Clément avait le talent de faire des pilules miracles, donc il pensait que ses remèdes devaient
être performants ! Alors, sans hésiter, Claude a accepté :
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏm– Merci ! Je suis totalement d‘accord !
Clément ne profitait pas du malheur de Claude pour lui faire mal, mais les meilleurs remèdes étaient si précieux
que Clément ne pouvait pas les lui donner pour rien. La coopération était la meilleure solution. Clément a donc dit à
Claude : – Dans ce cas, tu peux rentrer et demain je ferai signer un contrat à un avocat et je te donnerai le
remède.
Clovis, qui se tenait à côté, a demandé précipitamment : – Maître Clément, que faisons–nous à propos des Pelletier
? Clément a souri légèrement:
J‘ai ma propre décision à prendre, ne vous inquiétez pas !