Chapitre 1125
Clément était impuissant à un tel discours.
Il ne s’attendait pas à ce que Gisèle soit follement amoureuse de lui ni qu’elle tienne obstinément à cet amour. Il ne
voulait pas jouer avec ses sentiments, sans parler de l’enjôler. Puisqu’elle était déjà profondément plongée dans
l’amour, il en était vraiment responsable. Pourtant, il était clair que cette affaire ne pouvait pas se régler du jour au
lendemain.
Donc, Clément l’a consolée :
Nous en parlerons après, et laissons–nous le temps à réfléchir.
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtGisèle est devenue un peu nerveuse en demandant légèrement :
-Tu ne veux plus me voir ? Tu vas rester éloigné de moi ?
Bien sûr que non, a souri Clément, je ne suis pas ce genre de personne.
Elle a été soulagée un peu et a continué:
En fait, j’ai bien réfléchi et essayé de mettre une dizaine d’années, même une vingtaine d’années pour réaliser ce
rêve. Tout ça vaut la peine. Je n’ai qu’une proposition, c’est de ne pas rester éloigné de moi n’importe quoi, et de
me traiter comme ta bonne amie comme avant, même si tu ne m’aimes pas.
Clément a répondu avec sincérité :
– Rassure–toi, je vais tenir à notre amitié.
Elle a hoché la tête.
Il a laissé échapper un soupir avant de dire :
– Bon, il se fait tard, je dois rentrer, et toi rentres aussi.
– Ok, bonne nuit, Maître Clément. Merci encore pour ton arrivée et la pilule de
renouveau !
– Ne sois pas trop polie, a souri Clément en vaguant la main, je rentre alors, et sois prudente pendant la conduite.
En disant, il a ouvert la portière pour descendre. Gisèle l’a appelé encore:
Clément !
Il s’est retourné vers elle :
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏm– Quoi de neuf ?
Le visage tout rouge, Gisèle a dit timidement :
1. 1.
– Rien de spécial, mais je veux te dire que c’était mon premier baiser…
Même Clément a rougi à ces paroles. A sa grande surprise, elle lui avait réservé et confié son premier baiser. Ce
genre de gentillesse l’a touché tellement qu’il ne savait même pas comment répondre à ses sentiments. Un court
silence après, il n’a pu que dire:
– Merci…
Elle a souri avec timidité :
– Maître Clément, je te laisse alors…
– Ouais, au revoir.