Chapitre 1414
Il se sentait très humilié. Mais pour sauver sa vie, il ne pouvait que dire :
–
– Papa, s’il vous plaît, papa…
Clément a hoché la tête avec satisfaction en disant :
– Je vois bien ta sincérité. Alors je te promets de te laisser en vie à condition que tu t’agenouillais devant moi et
appelle–moi < papa ».
Jémi a dit mécontentement:
–
J’ai déjà fait ce que vous m’avez demandé de faire. Pourquoi vous ne voulez pas me laisser tranquille et m’obliger
encore de vous appeler < papa »> ?
Clément a dit en riant:
– Je t’ai dit de m’appeler « papa » en t’agenouillant. Si tu ne veux pas le faire, je te laisse mourir dignement. C’est à
toi de décider.
Béstien a dit avec colère :
– Après tout, je suis le chef du Groupe mercenaire de la Frontière nord. Auparavant, j’étais capable de battre une
centaine de personnes à moi tout seul. Arrêtez de poser des exigences exorbitantes!
Clément a ricané:
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Le chef du Groupe mercenaire de la Frontière nord ? Qu’est–ce que c’est le Groupe mercenaire de la Frontière
nord?
Béstien a répondu :
– Le Groupe mercenaire de la Frontière nord, c’est la plus grande société de mercenaires du nord !
– D’accord.
Clément a hoché la tête. Puis il a dit en souriant :
Bonjour, chef. Ton titre est assez impressionnant. Mais les gens m’ont aussi donné un titre. Lequel est le plus
puissant, ton titre ou le mien ?
Bestien a demandé :
– Quel est votre titre ?
Clément a dit dans un sourire:
– Le vrai Dragon du monde.
A ces mots, le visage de Béstien a changé brusquement.
Le vrai Dragon du monde ?
Quel bordel!
Un peu trop arrogant, non ?
Clément ne voulait pas continuer la discussion. Il a appliqué plus de force en disant d’un ton froid:
– Si tu t’agenouilles, tu survis. Si tu ne t’agenouilles pas, tu meurs. Tu n’as que trois secondes pour prendre la
décision.
Béstien a senti la pression sur son cou. Il a dit avec peur :
– Je vais m’agenouiller ! Je vais m’agenouiller !
Clément a jeté un regard sur le Dieu de la guerre :
–
– Et toi? Tu vas t’agenouiller ou pas ?
-Moi aussi ! Je vais m’agenouiller !
Jémi savait qu’une misérable vie vaut mieux qu’une belle mort. Il a hoché la tête sans aucune hésitation. Clément a
souri avec satisfaction. Il a plaqué les deux personnes contre la terre. Puis il a dit d’un ton froid:
– Criez plus fort. Sinon, je vais casser votre pénis. Vous ne pourrez plus faire l’amour pour le reste de votre vie !
Les deux personnes ont tremblé de peur. Ils se sont mis à genoux en criant:
– Papa, épargnez ma vie ! S’il vous plaît !
Ernest et Marian avaient une mine affreuse.
Cependant, ils ne pouvaient rien faire.
Ils ont témoigné l’agenouillement de ces deux maîtres. Ils ont même appelé Clément papa.
Clément était content de leur sincérité. Il a hoché la tête avec satisfaction en disant :
– Bons fils. Vous êtes capables de vous adapter à toutes les circonstances. Vous pouvez certainement faire les
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Mais ces deux ont jeté un coup d’œil furieux sur Clément. Ils voulaient le tuer.
En même temps, ils ont pensé à la même chose.
Après avoir surmonté cet obstacle aujourd’hui, comment pouvaient–ils se venger de Clément.
A ce moment–là, seulement la mort de Clément pouvait assouvir leur haine !
Mais à leur surprise, Clément a déjà envisagé de les tuer pour parer à toute éventualité.
En conséquence, ses expressions sur le visage donnaient à réfléchir. Il a dit dans un sourire:
– Mes fils, vous êtes le Dieu de la guerre et le Chef du Groupe mercenaire de la Frontière nord. C’est très
impressionnant et j’en suis content. Mais je n’aime pas que vous vous battiez et tuiez les gens tous les jours. Donc,
à partir d’aujourd’hui, il
vaut mieux rester honnêtement à la maison et se coucher à l’heure.
Les deux pensaient que Clément voulait simplement les humilier. Malgré la colère, ils n’avaient pas le courage de
prendre la parole.
Mais ils n’ont pas anticipé les véritables intentions de Clément.
En effet, ce dernier a mis secrètement le Qi sur les deux personnes et les a rendus immédiatement impuissants.
Désormais, ils n’étaient plus de grands maîtres. Par contre, ils n’avaient aucune force.
S’ils osaient appliquer la force, au lieu d’accumuler la force, ils devaient subir une douleur extrême. Ils ne
pourraient même pas déplacer des briques.
Donc, ils étaient complètement infirmes.
A ce moment–là, Clément a crié froidement :
– Ça y est. Dégagez. J’ai encore des choses à dire avec les deux membres des Benett!