Chapitre 1446
Ludovic a déclaré :
– A mon avis, le Fengshui est vrai dans une certaine mesure. Par exemple, il peut progressivement affecter la
chance, mais il est peu probable qu’il puisse rendre une personne impuissante en un instant. Alors je pense que ce
gamin a dû utiliser
des ruses.
Ernest a demandé:
– Que veux–tu dire exactement ?
Ludovic a expliqué:
– C’est comme faire de la magie. En plus d’utiliser des ruses trompeuses, les magiciens utilisent souvent des
techniques de diversions. Habituellement, quand un magicien te laisse regarder sa main droite, l’objet en question
est généralement caché dans sa main gauche. Quand il te laisse regarder son chapeau, l’objet en question est
généralement caché dans ses manches.
Marian a hoché la tête solennellement et a dit :
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇt– Continue.
Ludovic a poursuivi à la hâte :
– Écoutez, ce Clément semble être en apparence capable de changer le Fengshui chez nous, mais je pense que ce
gamin a dû utiliser une méthode secrète pour nous empoisonner secrètement, mais lors de l’empoisonnement,
nous étions tous distraits, alors nous n’avons pas pu le remarquer.
Ernest a soudainement pensé à quelque chose, s’est redressé et a lâché :
– C’est logique ! C’est très logique ! Je me suis demandé pourquoi deux de mes hommes avaient une faiblesse
musculaire sur tout le corps après avoir été étranglés par lui. Maintenant, que j’y pense, il a probablement
secrètement utilisé du poison sur mes hommes ! Sinon, comment deux grands maîtres d’arts martiaux pourraient–
ils devenir inexplicablement deux bons à rien?
Marian, qui était sur le côté, a dit à la hâte :
– Ernest, si ce gamin nous a vraiment empoisonnés, alors il doit avoir l’antidote ! Cela signifie qu’il nous faudra juste
mettre la main sur son antidote et nous pourrons nous remettre de notre impuissance n’est–ce pas ?
– Oui!
Ernest a également dit immédiatement:
– Ce gamin doit certainement avoir un moyen de nous guérir ! Lorsque nous aurons fini nos affaires demain, nous
trouverons un moyen de lui faire sortir l’antidote !
Lorsque Ludovic a entendu cela, il est immédiatement devenu très excité !
Pendant cette période, le traitement de son impuissance a été un vrai casse–tête pour lui, et il a même fini par jeter
l’éponge ces derniers jours.
Mais cela ne signifiait pas qu’il était vraiment prêt à accepter le statu quo, c’était juste qu’il était vraiment
impuissant face à son impuissance sexuelle, il avait fait tout ce qui était en son pouvoir pour se soigner, mais ses
efforts ont été en vain.
Mais s’il pouvait vraiment guérir sa maladie, peu importe combien il devrait payer, il était disposé à le faire ! C’était
pourquoi, il s’est dépêché de s’agenouiller sur un genou, a mis ses poings sur sa tête et a supplié :
– Je suis aussi une victime de Clément. J’ai vraiment beaucoup souffert de ce gamin. Si vous deux avez une chance
de l’obliger à vous remettre l’antidote, je vous supplie de m’en donner le moment venu pour que je puisse enfin
remédier à mon impuissance!
Ernest a hoché légèrement la tête et a dit :
Ne t’inquiéte pas, Ludovic, tu nous as dit tout ce que tu savais aujourd’hui, et nous ne t’oublierons pas lorsque nous
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmaurons l’antidote à l’avenir !
Ludovic a dit avec enthousiasme :
– M. Ernest, merci beaucoup ! Je n’oublierai jamais votre grande gentillesse à l’égard de ma modeste personne
Ernest a fait « oui » de la tête et lui a dit :
– D’accord, Ludovic, il se fait tard et tu dois retourner te reposer. Nous resterons en contact avec toi à ce sujet et
nous
Chapitre 1446
t’informerons à temps s’il y a des nouvelles.
Ludovic a hoché la tête à la hâte et a dit respectueusement:
– M. Ernest, donc je vous laisse !
Dès que Ludovic est parti, Marian a demandé à la hâte à Ernest:
– Ernest, quelles sont sont tes plans pour faire en sorte que ce bâtard de Clément nous remette l’antidote ?
Ernest a dit froidement :
– N’as–tu pas écouté ce que Ludovic a dit? Ce gamin est en fait un charlatan. Il est sûrement venu rencontrer notre
grand frère à la Cité Y pour l’argent, il n’y a donc pas de quoi s’inquiéter. Quand nous finirons de régler la question
du conseil d’administration demain, je lui jetterai de l’argent jusqu’à ce qu’il soit prêt à s’agenouiller devant moi !