Chapitre 3413
Dumont etait au bord de l’effondrement
Il realisart enfin que Clement était un véritable maître de la manipulation.
Lui et son père semblaient n’avoir aucune valeur à ses yeux
Leur plan pour s’en sortir et continuer à diriger l’entreprise familiale a échoué misérablement
Clement, avec seulement quelques mots, les avait piégés à nouveau et avait érigé une idole au–dessus de leur
famille.
Beliveau était egalement extrémement frustre et ne savait plus du tout comment conclure cette affaire.
Les chances de laisser son fils rester seul étaient minces, car cela reviendrait à admettre qu’ils avaient trompe
Clement. Le père et son fils étaient déjà coupables devant la famille Huet, et continuer à recourir à la ruse dans
une situation aussi critique les plaçait dans une position delicate Sils étaient pris, ils n’auraient plus aucune chance.
Philbert, en revanche, était très excité Voyant que Dumont hésitait à refuser, il est intervenu rapidement :
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtClement tu n’as pas besoin de demander leur avis sur cette affaire Je pense qu’ils se sentent tous redevables
envers la famille Huet et ne veulent plus nous déranger En tant que personne aimant aider les autres, même si
c’est un peu gênant, je suis prêt à faire tous les efforts nécessaires sans aucune plainte
Gilles, jaloux à en devenir fou, a rapidement imploré
Clément, mon père n’est pas en très bonne santé non plus. Pourrais–je aussi m’occuper de son alimentation et de
sa vie quotidienne?
Clement la ignoré et s’est tourné vers Béliveau et Dumont avec un sourire
Alors, comment ça se passe ? Mon rôle de chef de famille est–il rempli sérieusement? J’envoie Philbert pour vous
aider. Quel type d’esprit altruiste suis–je
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Didier écoutait à côté et ne pouvait s’empêcher de se frotter le visage, pensant que Clément était vraiment ruse,
allant jusqu’à mettre l’ancien chef de famille dans l’embarras
Il connaissait mieux que quiconque la personnalité de son fils ainé
Philbert etait un fardeau complet pour la famille Huet Si la famille était un train en marche, Philbert était un wagon
inutile, n’apportant ni passagers ni marchandises
il suivait la famille Huet, mais sa seule contribution était d’augmenter la consommation de carburant du train et de
réduire sa
vitesse
En général, la famille Huet disposait d’une équipe de cadres professionnels et de consultants du monde entier pour
gérer les affaires sérieuses Philbert se contentait de signer symboliquement des documents de décision, touchant
le salaire et les bénéfices les plus élevés de la famille.
L’entreprise de meubles de la famille de Dumont ne réalisait qu’un modeste profit annuel, et Philbert dépensait
chaque année une somme équivalente, trouvant toujours des excuses pour ses dépenses.
Pour ses voyages à l’étranger, Philibert justifiait l’achat d’une villa de luxe comme résidence officielle, prétendant
ne pas pouvoir s’habituer à séjourner dans des hôtels. Selon lui, avoir une maison était la meilleure option.
De plus, il justifiait ses achats de maisons en les présentant comme des investissements, citant des exemples où
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmdes chaines comme McDonald’s avaient ouvert des restaurants, acquis des propriétés, et finalement réalisé
d’énormes profits. C’était sa manière de se donner une certaine crédibilité.
Cependant, quand une personne ordinaire achetait une maison, c’était effectivement un investissement. Mais
quand Philbert achetait une maison, c’était clairement une blague.
Même s’il dépensait dix millions d’euros pour une villa de cing millions, avec des coûts supplémentaires de deux
millions pour la décoration, il la considérait comme rentable
En outre, l’achat d’une villa entrainait des dépenses supplémentaires, notamment des objets du quotidien, des
voitures, des yachts, voire des hélicoptères.
L’entretien de tous ces biens nécessitait également d’importantes ressources humaines et matérielles, assurant
une disponibilité constante et un service à tout moment.
Ainsi, même si la villa etait acquise pour dix millions d’euros, les coûts liés à l’achat de voitures, de yachts,
d’hélicoptères et les dépenses d’entretien pouvaient atteindre des millions.
De plus, la depreciation annuelle de ces biens s’élevait facilement à un million, sans compter les salaires du
personnel. Ces chiffres étaient tout simplement astronomiques.