Chapitre 3534
En réalité, James n’était pas surpris que la Maison-Blanche veuille acheter le brevet du Contrance.
A présent que le service hospitalier avait informé la Maison-Blanche de cette nouvelle, on ne saurait pas laisser
échapper cette
belle occasion.
Néanmoins, on ne pouvait pas décider si le titulaire lui céderait le brevet ou non.
Car, aux yeux de James, le Contrance était aussi précieux qu’une poule aux ceufs d’or. Quiconque avait du bon
sens ne saurait pas transmettre son brevet à autrui.
Cependant, au lieu de décourager le ministre en mettant en doute ses propos, James a promis:
Ok. Je vais m’efforcer de convaincre le responsable du Groupe Pan, lorsque je l’aurai vu.
Et il a proposé :
–
– Mais, j’ai peur d’être incompétent de bien régler cette affaire tout seul. Est-ce que la Maison-Blanche pourra
envoyer quelques experts en négociation ?
A ces mots, le ministre a désapprouvé :
Il est inconvenable que la Maison-Blanche intervienne directement dans cette affaire. On croirait que nous
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sera plus compliqué de nous acquérir le brevet de ce médicament.
Le ministre a recommandé :
Dès ton arrivée, tu vas passer voir le responsable du Groupe Pan en secret. Vous commencerez par parler de cette
affaire par insinuation. Si on a l’intention de céder le brevet, mais qu’il demande une somme importante en
contrepartie, je téléphonerai au responsable du Groupe Johnson & Johnson d’acheter ce brevet au nom du Groupe.
Sidéré, James pensait :
<< Quel beau projet ! La Maison-Blanche est très habile à faire cette sorte de choses! D’abord, elle s’est tenue au
courant de cette nouvelle. Maintenant, elle me fait négocier secrètement pour obtenir le brevet à l’insu de tout le
monde. Au futur, une fois qu’on sera parvenus à un accord, le Groupe Johnson & Johnson paiera. Disposant du
brevet de ce remède magique, l’entreprise connaîtra un nouvel essor à coup sûr !»
Et le ministre a réitéré :
1. James, il faut tout essayer pour obtenir le brevet du Contrance ! Après avoir acheté le brevet, le Groupe
Johnson & Johnson mettra au moins quelques points de pourcentages des chiffres de ventes par an pour
entretenir de bonnes relations avec les gens travaillant pour les autorités concernées, par exemple nous deux
! Nous ferons fortune!
A ces mots, James s’est ébahi.
Si le lancement du Contrance était autorisé, les chiffres de ventes annuels pourraient atteindre au moins des
centaines de milliards de dollars. Quelques points de pourcentage de ces centaines de milliards représentaient des
milliards.
Si on donne ces milliards de dollars aux relations travaillant au gouvernement, je pourrai toucher au maximum une
dizaine de millions ! >>
A cette pensée, James s’est ému et a affirmé avec empressement :
Oui, je vais tout faire pour obtenir le brevet !
Sur ce, le ministre s’est ravi et a ajouté :
Monsieur, la Maison-Blanche a donné un autre ordre. Au cas où on n’accepterait pas de nous céder le brevet, il
faudra nous procurer la recette du médicament. Cependant, les sept pilules données ont déjà été prises par ton fils.
Nous n’avons plus d’échantillon sous la main. Donc, tu devrais vous t’acquérir des pilules dans ce cas-là!
James a répliqué avec surprise:
Nous pourrons analyser et reproduire la recette du médicament, sans le brevet? Ca portera un coup fatal au crédit
du de brevets pharmaceutiques, si cette affaire est révélée ! Vous ne trouvez pas que c’est un peu trop risqué?
Jaya ped è craindre la-t-on répondu avec insouciance, nous ne fabriquerons pas les médicaments. Après avoir
obtenu la das recherches, nous la confierons sux usines pharmaceutiques indiennes que nous contrôlons pour quell
us Puisqu’en inde les brevets sur les produits pharm
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lol.
Depuis longtemps, les médicaments contrefaits indiens étaient très connus à l’échelle mondiale. Si les gens osaient
contrefaire toutes sortes de médicaments en Inde, c’était que les brevets des produits pharmaceutiques n’étaient
pas reconnus par la loi du pays et que ces actes n’étaient pas considérés comme illégaux là.
En réalité, James était un peu réticent à cette stratégie de la Maison-Blanche.
Issu du milieu universitaire, il éprouvait pour les brevets pharmaceutiques un respect aussi fort qu’auteur ressentait
envers les droits d’auteur.
Donc, faire James participer au piratage du brevet du Contrance équivalait à obliger à commettre le plagiat un
auteur professionnel qui écrivait depuis plusieurs années et qui était très passionné pour ce métier.
James ne voulait pas se mêler de cette affaire.
Donc, il n’a pu que donner une réponse équivoque :
-Je sais. Je vais faire des efforts pour que tout aille bien. Je vais vous en tenir au courant.
On a recommandé :
– Oui, dis-moi quel que soit le résultat de vos négociations.
D’accord.