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HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 1534
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Chapitre 1534

En disant cela, une chose est venue à son esprit. Clément a donc ajouté :

Bah oui, ma chérie, après ce repos d’un jour ou deux, je dois me rendre au Japon dès que possible. Je t’ai dit qu’un

client japonais me demandait souvent d’y aller.

Chloé a hoché la tête et lui a questionné:

– Tu y resteras pour combien de jours? Comme le Nouvel An est à l’approche, beaucoup de compagnies seront

fermées pour vacances. Pourquoi pas te reposer et y aller après les vacances?

Clément a répondu en souriant:

– Je lui l’ai déjà promis. C’est impoli de lui poser un lapin. Mais ne t’inquiète, ma chérie. Je pourrai finir ce travail en

quelques jours. En fait, le Japon n’est pas loin si bien qu’un vol de quelques heures suffit à d’y aller depuis la Cité J.

– D’accord

En hochant doucement la tête, Chloé a recommandé:

– Prend bien soin de toi-même au Japon. Tu ne connais pas bien cet endroit-là. Donc, garde-toi d’entrer en conflit

avec les autres et ne te laisse pas maltraiter par les locaux.

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– Bien entendu !

Avec un sourire, Clément a continué:

– Tu ne connais pas ton mari maintenant ? Personne ne m’intimide.

Ayant jeté un regard froid à Clément, la femme a expliqué:

– Je sais que tu excelles à te battre, mais en un mot, c’est la paix qui annonce la fortune.

Clément a fait un signe de tête affirmatif et a dit :

– T’inquiète, ma chérie. Je vais faire attention.

Au retour au Quartier Glitact.

Lorsque la voiture entrait dans la cour de la villa, Lorraine qui venait de se faire enlever le plâtre, est sortie

contentement en

courant.

Elle savait que Chloé cherchait Clément à l’aéroport. Par conséquent, elle attendait toujours son gendre.

Si elle espérait tellement son retour, c’était principalement parce que Clément lui a promis des cadeaux.

La dernière fois, Clément lui a offert une suite de produits La Prairie qui coutait des dizaines de milliers d’euros.

Depuis lors, Lorraine estimait vraiment son gendre généreux. Elle se doutait de recevoir également des cadeaux

onéreux cette fois-ci, d’où venait son impatience suivie.

Ayant vu Clément descendre de la voiture, Lorraine s’est approchée de lui tout de suite et a dit tout heureusement

Ah, mon Clément ! Tu es enfin de retour! Comme tu me manques!

Face à son attitude très flatteuse, Clément avait de la difficulté à s’y habituer.

Malgré le grand changement de son attitude auparavant, c’était la première fois qu’elle a dit des mots aussi

douceâtres.

Ensuite, Lorraine a continué:

– Tu ne sais pas combien je m’inquiète pour toi ces derniers jours. Tu n’as jamais de grande sortie. La peur que tu

mènes une mauvaise vie me préoccupe toujours!

Clément lui a répondu en souriant:

– Merci de ton inquiétude pour moi. Je vais bien ces derniers jours.

– Très bien, très bien !

Lorraine a lancé un soupir de soulagement, puis elle a jeté un regard dans la voiture en secret.

Comme Clément est rentré en voiture, c’était impossible de porter le cadeau sur lui. C’était pourquoi elle a regardé

l’intérieur de la voiture dans l’intention de trouver le cadeau.

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Kyan, beau-père de Clément, est alors sorti, roulant un bracelet discret en palissandre noir dans la main. Il a

demandé avec un petit sourire:

– Alors, Clément, tu es rentré. Ça se passe comment à Cité Y ?

Clément lui a répondu :

– Tout va bien.

Kyan a hoché la tête et a dit :

– D’accord!

À ce moment-là, Lorraine a aperçu quelques coffrets sur la banquette arrière de la voiture, mais elle ne pouvait pas

voir clair à travers la fenêtre filmée. Elle avait ainsi hâte à demander:

– Oh, mon bon gendre, qu’as-tu mis sur la banquette? Ce sont les cadeaux pour nous ?

Toujours souriant, Clément a hoché la tête et a répondu

Oui, j’ai préparé des cadeaux pour toi et pour Kyan à Cité Y.

Oh là là !

À ces mots, Lorraine est instantanément montée au comblé de la joie et a dit avec enthousiasme :

– Tu es vraiment mon bon gendre qui pense à moi tout le temps. Vite, montre-moi ce que tu m’as acheté !