Chapitre 4040
Clément a acquiescé, il allait dire à Adolphe que s’il voulait rentrer, il l’aiderait
certainement.
Même, si Adolphe était prêt à coopé
dans la Cité G à l’avenir.
+10 Bonus
avec Clément à l’avenir et à l’aider à diriger l’entreprise, Clément pourrait lui donner une
position extraordinaire
Cependant, Clément a réfléchi un moment et s’est dit qu’il s’agissait de sa première
rencontre avec Adolphe, et que s’il prenait l’initiative de dire cela, il craignait que ce
dernier n’ait des appréhensions.
De plus, Clément ne connaissait pas très bien Adolphe, et il pensait qu’il pouvait connaître
davantage le caractère d’Adolphe avant de prendre une décision.
A ce moment–là, Adolphe a pris l’initiative d’aider Clément à verser du vin et lui a dit en
souriant :
– M. Clément, ne parlons pas de moi, parlons de votre histoire. Depuis tant d’années que
vous avez disparu, beaucoup de gens, dont moi, pensions à vous, mais je n’ai pas la
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtpossibilité de partir à votre recherche comme l’a fait M. Bitoric…
Clément a souri avec reconnaissance, puis a raconté à Adolphe ses expériences au fil des
ans.
Lorsqu’Adolphe a appris que Clément était désormais le chef des Huet, il s’est exclamé
avec enthousiasme :
–
– M. Clément, comme vous êtes devenu le chef des Huet, je suis sûr que votre père sera
également très heureux !
Clément a acquiescé doucement, mais ne pouvait s’empêcher de soupirer :
A mon avis, la seule façon pour mes parents d’être soulagés est de rendre les Huet la
famille la plus puissante du monde.
Adolphe était un peu surpris d’entendre les paroles de Clément.
Il était vraiment surpris que Clément ait une telle ambition.
Cependant, Adolphe savait très bien au fond de lui qu’il n’était pas difficile d’avoir une
grande ambition, mais qu’il était plus difficile de la réaliser. Bien que Clément soit le fils de
Méverin, Adolphe n’était pas sûr de sa force réelle.
Adolphe repensait à la gentillesse que Méverin lui avait témoignée à l’époque, et il avait
l’idée d’aider Clément.
Seulement, il partageait les pensées de Clément : ils ne ss sont rencontrés que pour la
première fois, et s’il faisait part de ses pensées directement, il craignait que Clément ne le
trouve imprudent. De plus, Adolphe ne connaissait pas Clément et ce dernier ne voulait
peut–être pas son aide.
Les deux hommes ont changé donc de sujet, et bientôt ils parlaient du voyage de Clément
à New York cette fois–ci.
Adolphe a demandé à Clément :
–
Vous êtes venu aux Etats–Unis cette fois–ci, je crois que c’est pour le concert de Mlle
Clothilde, n’est–ce pas ?
Clément a souri et a dit :
En fait, je suis venu aux Etats–Unis pour accompagner ma femme dans ses études, et son
école est à Providence. Je suis venu aujourd’hui pour accompagner Clody à un dîner de
charité.
– Je vois.
Adolphe a acquiescé et dit, dubitatif,
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmMlle Clothilde se rendant à ce dîner de charité, cela va sûrement attirer beaucoup
d’attention, mais il ne me semble pas avoir entendu récemment que à New York on allait
organiser un dîner de charité…
Clothilde a dit,
– Il semble que ce dîner soit organisé par la Chambre de commerce du Pays C avec les
Brunelle pour aider des orphelins du Pays C aux Etats–Unis. Adolphe a froncé légèrement
les sourcils, il sentait que l’affaire n’était pas simple.
Bien qu’Adolphe ne soit plus qu’un restaurateur, il avait étudié la finance à l’époque, et il
avait également passé quelques années à investir, à financer et a gérer des entreprises,
de sorte que son domaine de prédilection était la collecte et l’analyse d’informations.
En raison de ses habitudes professionnelles, il prêtait toujours attention aux informations
utiles à ses côtés.
Par conséquent, il connaissait parfaitement les événements qui s’étaient déroulés à New
York au fil des ans.
C’était aussi parce qu’il avait une telle habitude que son intuition était souvent très juste.
Selon lui, à New York, il n’y avait presque pas de riches qui participaient à des activités
caritatives tout en restant discrets.
The will be updated daily. Come back and continue reading tomorrow, everyone!